barbara Auzou
Il y a un regain d’odeurs dans la dictée de la saison Un délicieux supplice Et nous mesurons avec nos mots d’arpenteurs Notre souffle comme une obscure préoccupation à ne pas fuir
Il y a un regain d’odeurs dans la dictée de la saison Un délicieux supplice Et nous mesurons avec nos mots d’arpenteurs Notre souffle comme une obscure préoccupation à ne pas fuir